Rabu, 17 Juli 2013
opulation). La densité est de 8,5 hab./km², mais la population est très inégalement répartie sur le territoire : de 26,9 en Russie d’Europe (Oural compris) elle tombe à 2,5 en Russie d’Asie. L’urban
Article détaillé : Démographie de la Russie.
Carte ethnique de la Russie européenne avant la Première Guerre mondiale
Évolution de la démographie entre 1991 et 2010 (chiffres du Service fédéral des statistiques, population en millions d’habitants).
Après la Seconde Guerre mondiale, qui avait entraîné la mort d’environ 27 millions de personnes21 (civils et militaires), la population avait retrouvé son niveau d’avant-guerre en 1955 (111 millions), puis s’était accrue de près de 35 % en atteignant son maximum en 1992 (148,7 millions). Cependant plusieurs phénomènes sont venus modifier cette dynamique démographique dont la plus importante est sans doute la « normalisation » de la fécondité russe qui a effectué à compter de 1988 sa transition démographique et présente désormais un taux de natalité proche de celui des autres pays d’Europe de l’Est, c'est-à-dire très bas.
La population de la Russie s’établit à 143,4 millions d’habitants, avec un taux d’urbanisation élevé (73 % de la population). La densité est de 8,5 hab./km², mais la population est très inégalement répartie sur le territoire : de 26,9 en Russie d’Europe (Oural compris) elle tombe à 2,5 en Russie d’Asie. L’urbanisation tend à dépeupler la gloubinka, ou « Russie profonde » au profit de grandes métropoles et plus particulièrement des villes de la Russie européenne.
La population de la Russie augmente légèrement depuis 2009 du fait de l'immigration, d'une hausse de la natalité et d'une baisse de la mortalité. En 2012, le taux de natalité s’établit à 13,3 ‰ tandis que le taux de mortalité s'élève à 13,3 ‰. L'indice de fécondité est de 1,7 enfant par femme. Depuis 2007, pour enrayer la diminution de la population, l'administration Vladimir Poutine octroie un capital maternité de 267 500 roubles (environ 6 300 euros) à la naissance du second enfant.
Le déficit naturel est en partie compensé par des flux migratoires en provenance des pays issus de l’éclatement de l’URSS. L’immigration, qui était dans les années 1990 essentiellement le fait de russophones, a aujourd’hui des origines plus mélangées (immigration chinoise et ouzbek)[réf. nécessaire]. En 2008, la Russie comptait quelque 10 millions d’immigrés22. La crise économique, l’augmentation du chômage et la redéfinition de l’identité russe provoquent une montée de la xénophobie dans le pays : 74 meurtres à caractère racistes ont été recensés en 2007, 114 en 200822, ce qui est à mettre en perspective avec les statistiques inférieures des autres pays européens connaissant désormais eux aussi ce phénomène.
L’espérance de vie est inférieure à la moyen
Selasa, 16 Juli 2013
« Scriabine n'est pas le genre de compositeur que l'on peut considérer comme son pain quotidien, c'est plutôt une liqueur forte avec laquelle vou
Une circonstance, plutôt secrète et quasiment inconnue, concerna l'une des dernières étapes de sa vie : après une grave opération, il séjourna lors de sa convalescence, dans un merveilleux monastère de sœurs bénédictines, près d'Aix en Provence. Fasciné par le chant grégorien qu'il entendait lors de certains offices, il accepta de donner un récital (Haydn, Mozart) dans la petite chapelle du monastère, pour aider financièrement les sœurs à édifier un nouveau monastère, ailleurs en France. Il aimait ce lieu de paix et de recueillement et y passa à nouveau quelques jours, quatre mois avant sa mort, en 1997. Le 1er août 1997, Sviatoslav Richter est mort à l'Hôpital Central de Moscou des suites d'un infarctus cardiaque ; il revenait de sa datcha2.
Artiste relativement secret, Sviatoslav Richter a cependant publié des carnets et souvenirs, encouragé en cela par le documentariste Bruno Monsaingeon : Richter - Écrits, conversations.
Déclarations mémorables de Sviatoslav Richter sur ses pairs[modifier | modifier le code]
En écoutant Bach :
« Il ne fait aucun mal d'écouter Bach, de temps en temps, même si ce n'est qu'une question d'hygiène 1 !!! »
De Scriabine il disait :
« Scriabine n'est pas le genre de compositeur que l'on peut considérer comme son pain quotidien, c'est plutôt une liqueur forte avec laquelle vous pouvez vous enivrer périodiquement, un médicament poétique, un cristal qui est facilement rompu1. »
À propos de ses tournées dans les petites villes :
« Mettez un petit piano dans un camion et conduisez le long des routes de campagne, prenez le temps de découvrir un nouveau paysage ; s'arrêter dans un joli endroit où il y a une bonne église ; décharger le piano et parler aux habitants ; donner un concert ; offrir des fleurs aux personnes qui ont eu la gentillesse d'y assister ; repartir9. »
Sur son point de vue de jouer sans toucher de cachet : "La musique doit être donnée à ceux qui l'aiment, je veux donner des concerts gratuits; c'est la réponse10."
De Neuhaus:
« J'ai beaucoup appris de lui, même s'il n'arrêtait pas de dire qu'il n'y avait rien qu'il ne puisse m'enseigner ; la musique est écrite pour être jouée et écoutée et m'a toujours semblé être en mesure d'être dirigée sans paroles ... Ce fut exactement le cas avec Heinrich Neuhaus. En sa présence, j'étais presque toujours réduit à un silence total. Ce fut une chose extrêmement bonne, car elle signifiait que nous étions concentrés exclusivement sur l
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